Dans une ambiance d’allégresse et d’unité, le peuple marocain s’associe en ce samedi 2 Rabiî I 1430, correspondant au 28 février 2009, à la Famille Royale pour célébrer le 2e anniversaire de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija. Cette célébration collective traduit la profonde symbiose entre le Trône et le peuple, mais aussi des liens d’une indéfectible profondeur tissés depuis toujours entre l’un et l’autre, forgés et perpétués à travers les péripéties de notre histoire et le modelage de notre mémoire.
La joie et l’expression d’une indéfectible fidélité au Trône accompagnent aujourd’hui la célébration de l’anniversaire d’une petite Princesse que tous les Marocains aiment avec tendresse et une affection renouvelée.
Avec une émotion saisissante, l’heureuse nouvelle de la naissance à Rabat le 28 février 2007 de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija a été accueillie et s’est répandue comme une lumière dans le Royaume. Ce jour-là, un jeudi, le communiqué laconique du ministère de la Maison Royale et de la Chancellerie, lu par Abdelhak Mrini, annonçait l’événement en ces termes : « Au nom de Dieu Le Clément et Le Miséricordieux, il m’est agréable d’annoncer au peuple marocain généreux l’heureuse nouvelle de la naissance d’une Princesse dont la venue au monde a illuminé la Maison Royale, à 20 heures de ce béni mercredi, 10 Safar Al Khaïr 1428, correspondant au 28 février 2007 et que l’heureux nouveau-né et sa mère, S.A.R. la Princesse Lalla Salma sont en parfaite santé. Sa Majesté le Roi a baptisé l’heureux nouveau-né du nom de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija ».
Répercutée sur le « fil » des agences, nationales et internationales, la nouvelle a cependant vite fait de gagner toutes les régions, les grandes villes, les petits et lointains villages et les localités recluses du nord au sud, de l’est à l’ouest du Royaume. Décision a été prise ensuite d’ouvrir des Livres d’or, au siège de la direction du Protocole Royal et de la Chancellerie et dans les différentes wilayas, préfectures et provinces, ainsi qu’à différentes ambassades et consulats du Royaume à travers le monde pour enregistrer les félicitations adressées, à cette occasion, par le peuple marocain à Sa Majesté le Roi et à la Famille Royale. Une marque aussi qui associe les Marocains, où qu’ils se trouvent, à la joie de la Famille Royale et de renforcer la symbiose entre le Trône et le peuple. Au-delà, il y a également l’esprit d’ouverture et la nouvelle culture de communication instaurée par le Souverain et son désir de partager son bonheur avec le peuple marocain.
C’est si vrai que, dans le même esprit d’ouverture, un bulletin de santé a été rendu public, précisant les bonnes conditions physiques et psychologiques de la naissance de la nouvelle Princesse, ainsi que l’état de santé de sa maman, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Salma et la liste des professeurs et médecins les ayant assistées. Le 28 février 2007, une jeune et splendide petite Princesse est donc venue illuminer le foyer royal. Les photos publiées et diffusées le lendemain par la presse et les chaînes de télévision ont donné la mesure de la joie profonde de Sa Majesté Mohammed VI et des membres de la Famille Royale, comme aussi des populations du Maroc tout entier. Accrochés sur les cimaises populaires, des « posters » de la Princesse ont été confectionnés, ils ont rejoint les galeries amatrices des boutiques et maisons, ils ont fait le bonheur des gens simples dont l’attachement à la monarchie, au Roi, à ses enfants et à la Famille Royale n’a d’égale que leur imprégnation profonde dans les symboles, les hauts signes et les actes qu’elle incarne.
Car il s’agit là à coup sûr d’une imprescriptible et indéniable identification du peuple dans l’image irréversiblement peaufinée de son Roi et de la Famille Royale. Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija n’est pas seulement la plus jeune Princesse du Maroc, elle incarne en effet le limpide et profond attachement du peuple marocain à l’enfance et aux enfants, ensuite le symbole de rayonnement que la culture marocaine -au plan humain, civilisationnel, religieux et social- érige en termes d’émancipation. Sa Majesté le Roi Mohammed VI, on se réjouit de le souligner, est un père heureux.
Il campe à l’instar de n’importe quel père citoyen sur l’arc-en-ciel de la responsabilité familiale, soucieux d’inculquer à ses enfants une éducation adéquate, le sens de l’effort, l’amour des populations et du pays, l’engagement, la curiosité d’un peuple qui se déplace pour saluer sa naissance et ce sens du devoir aigu dont il ne cesse, Prince et Roi, de porter l’emblème. C’est peu dire que le deuxième anniversaire de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija, célébré dans les cœurs de tous les Marocains, fédérant les joies diverses au nom d’un irréductible principe -l’attachement à la Monarchie et au Roi – s’inscrit aujourd’hui dans une continuité marquée du sceau de la grâce, de la lumière et de l’unité nationale.
Le peuple marocain, on ne le dira jamais assez, s’identifie dans les enfants de son Roi, dans l’ensemble de la Famille Royale qui incarne le ciment, le roc de sa belle solidité, le rempart inexpugnable contre toute adversité, d’où qu’elle vienne et quelle que soit sa nature, enfin la fierté au niveau international !
Les Princes et les Princesses sont devenus les symboles du Maroc moderne, les porte- drapeaux de cette nation qui a fait du mouvement l’articulation et la raison de mobilisation contre l’inertie imparable des autres. Il faut d’emblée souligner que l’anniversaire de la Princesse, la fille cadette du Souverain, est d’abord un moment de communion. Il symbolise l’unité familiale, au niveau royal, mais aussi au niveau de la grande famille marocaine. Et, quand bien même il serait hasardeux d’établir des parallèles intrinsèques, nous dirions que ce deuxième anniversaire survient à un moment où Sa Majesté le Roi a renforcé l’émancipation dans un registre d’autant plus novateur que la femme marocaine, qui ne cesse de cumuler les honneurs en même temps que d’affirmer ses droits, est appelée à assumer de nouvelles missions et des charges inédites, en politique, en société, en éducation et en matière de gestion publique et privée.
C’est un confluent d’exigences, le miroir aussi d’une évolution qui présume plus que la concorde nationale. Plutôt l’unité familiale ! Nous célébrons le deuxième anniversaire de S.A.R. la Princesse Lalla Khadija dans l’allégresse et la conviction qu’elle incarne un des très grands bonheurs de S.M. le Roi et de la Famille Royale. C’est aussi le bonheur de toutes les Marocaines et de tous les Marocains, fermement attachés au Trône, attentifs pour ne pas dire portés à une obsessionnelle curiosité autour des gestes et faits de la Famille Royale. Un homme actif, simplement mais élégamment accoutré en sportwear porte sa petite fille sur ses bras, il traverse une de ces forêts denses -sorte de Mato Grosso marocain- qu’il est permis d’imaginer, marchant à pas cadencé et sûr comme à son habitude. Dans ses bras, nattes nouées, un visage de fée tout en splendeur.
C’est sa petite fille qui nous offre déjà un autre visage et de nouveaux traits, le petit caractère d’une très jeune demoiselle qui affiche volonté et tempérament. Elle est ravissante et splendide, les yeux pétillants expriment une irascible curiosité. Le père et sa fille affichent de toute évidence une complicité à toute épreuve, lui incarne le cœur grand, une générosité à toute épreuve, elle manifeste son attachement avec une tendresse que la photo, saisie sur le vif, ne rend que partiellement. Là encore, le style c’est l’homme, celui d’un père qui assume ses devoirs avec cette tendresse peu commune. C’est la photo que nous nous honorons de publier cette année, elle porte une date et un signe, ceux de la simplicité citoyenne d’un père qui, ne ménageant aucun effort, arrache le temps au temps de son métier de Roi pour être aussi auprès des siens et de sa petite famille.
La joie et l’expression d’une indéfectible fidélité au Trône accompagnent aujourd’hui la célébration de l’anniversaire d’une petite Princesse que tous les Marocains aiment avec tendresse et une affection renouvelée.
Avec une émotion saisissante, l’heureuse nouvelle de la naissance à Rabat le 28 février 2007 de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija a été accueillie et s’est répandue comme une lumière dans le Royaume. Ce jour-là, un jeudi, le communiqué laconique du ministère de la Maison Royale et de la Chancellerie, lu par Abdelhak Mrini, annonçait l’événement en ces termes : « Au nom de Dieu Le Clément et Le Miséricordieux, il m’est agréable d’annoncer au peuple marocain généreux l’heureuse nouvelle de la naissance d’une Princesse dont la venue au monde a illuminé la Maison Royale, à 20 heures de ce béni mercredi, 10 Safar Al Khaïr 1428, correspondant au 28 février 2007 et que l’heureux nouveau-né et sa mère, S.A.R. la Princesse Lalla Salma sont en parfaite santé. Sa Majesté le Roi a baptisé l’heureux nouveau-né du nom de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija ».
Répercutée sur le « fil » des agences, nationales et internationales, la nouvelle a cependant vite fait de gagner toutes les régions, les grandes villes, les petits et lointains villages et les localités recluses du nord au sud, de l’est à l’ouest du Royaume. Décision a été prise ensuite d’ouvrir des Livres d’or, au siège de la direction du Protocole Royal et de la Chancellerie et dans les différentes wilayas, préfectures et provinces, ainsi qu’à différentes ambassades et consulats du Royaume à travers le monde pour enregistrer les félicitations adressées, à cette occasion, par le peuple marocain à Sa Majesté le Roi et à la Famille Royale. Une marque aussi qui associe les Marocains, où qu’ils se trouvent, à la joie de la Famille Royale et de renforcer la symbiose entre le Trône et le peuple. Au-delà, il y a également l’esprit d’ouverture et la nouvelle culture de communication instaurée par le Souverain et son désir de partager son bonheur avec le peuple marocain.
C’est si vrai que, dans le même esprit d’ouverture, un bulletin de santé a été rendu public, précisant les bonnes conditions physiques et psychologiques de la naissance de la nouvelle Princesse, ainsi que l’état de santé de sa maman, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Salma et la liste des professeurs et médecins les ayant assistées. Le 28 février 2007, une jeune et splendide petite Princesse est donc venue illuminer le foyer royal. Les photos publiées et diffusées le lendemain par la presse et les chaînes de télévision ont donné la mesure de la joie profonde de Sa Majesté Mohammed VI et des membres de la Famille Royale, comme aussi des populations du Maroc tout entier. Accrochés sur les cimaises populaires, des « posters » de la Princesse ont été confectionnés, ils ont rejoint les galeries amatrices des boutiques et maisons, ils ont fait le bonheur des gens simples dont l’attachement à la monarchie, au Roi, à ses enfants et à la Famille Royale n’a d’égale que leur imprégnation profonde dans les symboles, les hauts signes et les actes qu’elle incarne.
Car il s’agit là à coup sûr d’une imprescriptible et indéniable identification du peuple dans l’image irréversiblement peaufinée de son Roi et de la Famille Royale. Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija n’est pas seulement la plus jeune Princesse du Maroc, elle incarne en effet le limpide et profond attachement du peuple marocain à l’enfance et aux enfants, ensuite le symbole de rayonnement que la culture marocaine -au plan humain, civilisationnel, religieux et social- érige en termes d’émancipation. Sa Majesté le Roi Mohammed VI, on se réjouit de le souligner, est un père heureux.
Il campe à l’instar de n’importe quel père citoyen sur l’arc-en-ciel de la responsabilité familiale, soucieux d’inculquer à ses enfants une éducation adéquate, le sens de l’effort, l’amour des populations et du pays, l’engagement, la curiosité d’un peuple qui se déplace pour saluer sa naissance et ce sens du devoir aigu dont il ne cesse, Prince et Roi, de porter l’emblème. C’est peu dire que le deuxième anniversaire de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Khadija, célébré dans les cœurs de tous les Marocains, fédérant les joies diverses au nom d’un irréductible principe -l’attachement à la Monarchie et au Roi – s’inscrit aujourd’hui dans une continuité marquée du sceau de la grâce, de la lumière et de l’unité nationale.
Le peuple marocain, on ne le dira jamais assez, s’identifie dans les enfants de son Roi, dans l’ensemble de la Famille Royale qui incarne le ciment, le roc de sa belle solidité, le rempart inexpugnable contre toute adversité, d’où qu’elle vienne et quelle que soit sa nature, enfin la fierté au niveau international !
Les Princes et les Princesses sont devenus les symboles du Maroc moderne, les porte- drapeaux de cette nation qui a fait du mouvement l’articulation et la raison de mobilisation contre l’inertie imparable des autres. Il faut d’emblée souligner que l’anniversaire de la Princesse, la fille cadette du Souverain, est d’abord un moment de communion. Il symbolise l’unité familiale, au niveau royal, mais aussi au niveau de la grande famille marocaine. Et, quand bien même il serait hasardeux d’établir des parallèles intrinsèques, nous dirions que ce deuxième anniversaire survient à un moment où Sa Majesté le Roi a renforcé l’émancipation dans un registre d’autant plus novateur que la femme marocaine, qui ne cesse de cumuler les honneurs en même temps que d’affirmer ses droits, est appelée à assumer de nouvelles missions et des charges inédites, en politique, en société, en éducation et en matière de gestion publique et privée.
C’est un confluent d’exigences, le miroir aussi d’une évolution qui présume plus que la concorde nationale. Plutôt l’unité familiale ! Nous célébrons le deuxième anniversaire de S.A.R. la Princesse Lalla Khadija dans l’allégresse et la conviction qu’elle incarne un des très grands bonheurs de S.M. le Roi et de la Famille Royale. C’est aussi le bonheur de toutes les Marocaines et de tous les Marocains, fermement attachés au Trône, attentifs pour ne pas dire portés à une obsessionnelle curiosité autour des gestes et faits de la Famille Royale. Un homme actif, simplement mais élégamment accoutré en sportwear porte sa petite fille sur ses bras, il traverse une de ces forêts denses -sorte de Mato Grosso marocain- qu’il est permis d’imaginer, marchant à pas cadencé et sûr comme à son habitude. Dans ses bras, nattes nouées, un visage de fée tout en splendeur.
C’est sa petite fille qui nous offre déjà un autre visage et de nouveaux traits, le petit caractère d’une très jeune demoiselle qui affiche volonté et tempérament. Elle est ravissante et splendide, les yeux pétillants expriment une irascible curiosité. Le père et sa fille affichent de toute évidence une complicité à toute épreuve, lui incarne le cœur grand, une générosité à toute épreuve, elle manifeste son attachement avec une tendresse que la photo, saisie sur le vif, ne rend que partiellement. Là encore, le style c’est l’homme, celui d’un père qui assume ses devoirs avec cette tendresse peu commune. C’est la photo que nous nous honorons de publier cette année, elle porte une date et un signe, ceux de la simplicité citoyenne d’un père qui, ne ménageant aucun effort, arrache le temps au temps de son métier de Roi pour être aussi auprès des siens et de sa petite famille.